Les combinaisons de combat modernes apportent une triple protection : boucliers, blindage et auto-réparation. La première « couche protectrice » est assurée par des émetteurs de barrière cinétique alimentés qui détectent les objets approchant à grande vitesse et génèrent des « boucliers » déflecteurs.
Les combinaisons de combat modernes apportent une triple protection : boucliers, blindage et auto-réparation. La première « couche protectrice » est assurée par des émetteurs de barrière cinétique alimentés qui détectent les objets approchant à grande vitesse et génèrent des « boucliers » déflecteurs. Si l'objet (une balle, le plus souvent) parvient à pénétrer la barrière cinétique, le blindage traditionnel entre alors en action. Une combinaison étanche confectionnée en matériau pare-balles non-poreux fournit une protection cinétique et environnementale, protection encore renforcée par des plaques ultra-légères en céramique composite positionnées sur les zones vulnérables comme la tête ou la poitrine. Lorsque ces plaques sont touchées par une arme à énergie focale, elles protègent le porteur de toute brûlure. Le troisième et dernier niveau de protection est assuré par un micro-ordinateur dont les détecteurs sont directement intégrés à la combinaison. Ce dispositif agit comme un système de survie en colmatant la moindre déchirure à l'aide de médi-gel stérile et isolant. Ceci permet à la fois de stopper les hémorragies en cas de blessure et d'isoler le porteur du vide spatial ou d'un environnement toxique. La sensation de « deuxième peau » n'est guère appréciée des soldats mais le nombre de morts a chuté de manière significative depuis la mise en place de ce système. Catégorie:Armes, armures et équipement