| rdfs:comment | - Prenez donc une carotte. Oui oui, c’est à vous que je parle. Allez hop, on lève son cul de sa chaise, et on va en chercher une dans le frigo. Ne vous inquiétez pas, je vais tout de même mettre une photo, par respect pour ceux : 200px|thumb|right|Avouez-le, elles ont l’air fourbes.
* n’ayant pas de carottes dans leur frigo
* n’ayant pas de frigo
* n’ayant pas envie de se lever.
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| abstract | - Prenez donc une carotte. Oui oui, c’est à vous que je parle. Allez hop, on lève son cul de sa chaise, et on va en chercher une dans le frigo. Ne vous inquiétez pas, je vais tout de même mettre une photo, par respect pour ceux : 200px|thumb|right|Avouez-le, elles ont l’air fourbes.
* n’ayant pas de carottes dans leur frigo
* n’ayant pas de frigo
* n’ayant pas envie de se lever. Maintenant, observez-la bien, cette carotte. Ne remarquez donc vous rien ? Regardez-la de plus près. Ne me dites pas que vous ne voyez pas. La carotte est vile, ignoble. Cruelle. Et très fière d'elle. Elle sait ce qu’elle a fait. Et elle l’assume. Elle le revendique même. Je suis persuadée que vous ne le savez pas encore, mais je vais vous en informer. La carotte est la raison de la bêtise humaine, et en plus c’est un légume dégueulasse. Regardez encore une fois cette carotte, et dites moi : Maintenant que j’y pense, il est vrai qu’elle a l’air mesquine. Je dirai même plus : elle a l’air mesquine ET narquoise. Putain, mais c’est une carotte normale, qu’est ce que tu racontes ?! J’ai trop peur des carottes pour la regarder dans les yeux.
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