rdfs:comment | - Des centaines d'agrégés et de désagrégés se sont penchés sur un épineux problème : faut-il préférer le terme « analyse » à « commentaire », ou l'inverse ? Et malgré ces nombreux avis d'experts, la querelle n'est toujours pas définitivement tranchée. Cela pour la bonne et simple raison que les deux écoles ont toutes deux des arguments valables, que nous verrons d'ici peu. Toujours est-il que l'Éducation Nationale a privilégié, dans le cadre du baccalauréat, « commentaire », signe de la puissance des juifs dans les plus hautes sphères de l'État. Malgré cela, les partisans de l'analyse restent vindicatifs. En effet, ils avancent que le terme « commentaire », en raison de l'émergence des Skyblogs, a pris une connotation plus que vulgaire. Ces grands esprits soutiennent que les élèves n'ayant p
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abstract | - Des centaines d'agrégés et de désagrégés se sont penchés sur un épineux problème : faut-il préférer le terme « analyse » à « commentaire », ou l'inverse ? Et malgré ces nombreux avis d'experts, la querelle n'est toujours pas définitivement tranchée. Cela pour la bonne et simple raison que les deux écoles ont toutes deux des arguments valables, que nous verrons d'ici peu. Toujours est-il que l'Éducation Nationale a privilégié, dans le cadre du baccalauréat, « commentaire », signe de la puissance des juifs dans les plus hautes sphères de l'État. Malgré cela, les partisans de l'analyse restent vindicatifs. En effet, ils avancent que le terme « commentaire », en raison de l'émergence des Skyblogs, a pris une connotation plus que vulgaire. Ces grands esprits soutiennent que les élèves n'ayant pas eu suffisamment de cours en raison du dÉsengagement financier de l'État risquent de confondre commentaire de blog et commentaire de texte. Pour s'en convaincre, il suffit d'observer certaines réponses à des questions du brevet blanc. Par exemple, celle-ci : « Commentez cette phrase de William Shakespeare, Ainsi la conscience fait-elle de nous tous des lâches » . Cela a donné : Kévin : lol Vanessa : mdr tro styley le mec lol Priscilla : Oua t écri tro dé joli fraz C toa ki lé envoi kan on envoi « POEM » par SMS ? Julie : Mouais bof bof ... arrêtez de fantasmer Mais les anti-analyse ont su se montrer plus convaincants encore, ou plutôt plus persuasifs car, comme tu le sais si tu es allé à un cours de lettres cette année, « convaincre c'est avec la raison, persuader c'est avec les sentiments ». Cette faction a su jouer sur la sensibilité des certifiés et agrégés en lettres modernes, et plus particulièrement sur ses sentiments envers la communauté scientifique. Elle a su mettre en avant l'appartenance du mot « analyse » au registre scientifique, ce qui a exaspéré les plus modérés des « analystes », convaincus (pardon, persuadés) de s'être laissés berner par des scientifiques infiltrés dans la confrérie des littéraires. Ils ont été vraiment persuadés (je veux dire, convaincus) après avoir vu un élève de 1ère S prendre « Analysez ce texte » au pied de la lettre :
* Développement
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