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  • Ceinture
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  • La ceinture est d'abord utilisée par les grecs pour retenir le ventre derrière les limites de la toge et l'empêcher d'apparaître de façon disgracieuse aux yeux de tous. La plupart des Grands Philosophes Grecs portaient donc une grande marque rouge sur leur ventre couvert de multiples bourrelets. Platon écrira à ce sujet le célèbre syllogisme : "Je suis gros. Être gros c'est pas beau. Je porte une ceinture et ça fait mal". Socrate serait d'ailleurs mort d'étouffement, après avoir trop serré sa ceinture, ce qui aurait poussé César à dire avant de mourir : "Tu quoque fili" (Toi aussi, ceinture. Bon dieu vous avez jamais fait de latin ?). Des écrits égyptiens rapportent qu'un homme (représenté par les hiéroglyphes sous la forme d'un géant musculeux portant une barbe, et traduit plus tard par l
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  • La ceinture est d'abord utilisée par les grecs pour retenir le ventre derrière les limites de la toge et l'empêcher d'apparaître de façon disgracieuse aux yeux de tous. La plupart des Grands Philosophes Grecs portaient donc une grande marque rouge sur leur ventre couvert de multiples bourrelets. Platon écrira à ce sujet le célèbre syllogisme : "Je suis gros. Être gros c'est pas beau. Je porte une ceinture et ça fait mal". Socrate serait d'ailleurs mort d'étouffement, après avoir trop serré sa ceinture, ce qui aurait poussé César à dire avant de mourir : "Tu quoque fili" (Toi aussi, ceinture. Bon dieu vous avez jamais fait de latin ?). Des écrits égyptiens rapportent qu'un homme (représenté par les hiéroglyphes sous la forme d'un géant musculeux portant une barbe, et traduit plus tard par les égyptologues shukk), énervé par les crues incessantes d'une Nil l'aurait "ceinturé avec les bras et étouffé en hurlant : Eau méchante !"(Extrait tiré des mémoires du grand prêtre Imothep). La ceinture fut aussi utilisée en Chine pour retarder l'éjaculation en serrant violemment le pénis de l'usager (on rapporte que le cinquième empereur de la dynastie Qing aurait abusé de cette technique et serait mort les organes noyés dans son propre sperme). Pendant les croisades, une caste secrète surnommée les "ceinturiers" fabriquaient des ceintures en or que le Pape enviait tellement (sans pour autant comprendre à quoi elle pouvait bien servir) qu'il créa l'ordre des Templiers pour leur voler leur secret de fabrication. Les premières flûtes étaient à l'évidence copiées sur les ceintures, c'est juste un petit plaisantin (disciple de Léonard de Vinci) qui eut l'idée d'en faire une en bois qu'on ne pouvait pas passer autour de la taille ; il s'aperçut qu'en lui donnant une forme creuse elle produisait un bruit agréable. L'usage que nous en faisons aujourd'hui a longtemps été ignoré. C'est un philosophe hongrois du Moyen-Âge, Klutz Frudirzedishtuze, qui le découvrit après des milliers d'expériences sur son propre corps (Il perdit son bras droit et sa main gauche). On retrouve dans ses mémoires cette phrase intéressante qui traduite toute l'abnégation intellectuelle de ce génie méconnu : "Ah ceinture ! Pourquoi ne puis-je te comprendre ?". Un regard plus contemporain fut porté sur la ceinture dans "Ceinture et Tabou" de Sigmund Freud, où le psychanalyste établissait une liaison entre la ceinture et "une forme phallique préconsciente". Un groupe d'intellectuels formé en 1968 et encore très influent de nos jours continue d'affirmer que l'usage que nous faisons aujourd'hui de la ceinture n'est qu'une infime partie des possibilités exceptionnelles de celle-ci. André Breton à la tête de ce groupe décrivait émerveillé quelques une de ces étonnantes capacités : " Elle peut servir à frapper, à parler, à voler !".