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  • Aristote
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  • Aristote était un philosophe grec antique. (Réalité extrapolée *
  • Aristote, c'est le meilleur ; d'où son nom. C'est parce qu'il était le meilleur que sa maman l'a appelé comme ça. En grec, son nom exact c'est Ἀριστοτέλης qui veut dire Aristote t'es laid, d'où Édith Piaf qui l'avait dans la peau parce qu'elle aimait les mecs en général, et particulièrement les mecs pas beaux, et particulièrement quand ils étaient Grecs. Et c'est l'éphèbe de Piaf. Et en somme c'est le Dasein d'Aristote en quelque sorte, puisqu'il le précédait et le suivait comme son ombre, le remplaçant, jouant presque son rôle à faire son drôle, auprès de la môme Piaf. Etc. Donc He's the best !
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Espèce
Mort
  • -322
  • Terre
Naissance
  • -384
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Genre
  • Masculin
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Situation
Nom
  • Aristote
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  • Aristote était un philosophe grec antique. (Réalité extrapolée *
  • Aristote, c'est le meilleur ; d'où son nom. C'est parce qu'il était le meilleur que sa maman l'a appelé comme ça. En grec, son nom exact c'est Ἀριστοτέλης qui veut dire Aristote t'es laid, d'où Édith Piaf qui l'avait dans la peau parce qu'elle aimait les mecs en général, et particulièrement les mecs pas beaux, et particulièrement quand ils étaient Grecs. Aristote fut son grand amour avant d'être emporté par la foule qui nous traîne, nous entraîne (en démocratie, ça arrive et Aristote était partisan de la démocratie, pas de chance Édith !) ou de disparaître dans le port d'Amsterdam, on ne sait pas très bien au juste, où il aurait dit-on rencontré une pute, mère de la philosophie qui en manquait, de mère, vu que Platon était homo. Car la pute est est la mère de la philosophie, vous ne le saviez pas ? C'est pourtant bien connu et c'est pour cela qu'on les appelle les péripatéticiennes, parce qu'elles péripatent, non, pas du tout sur le périphérique, je n'ai jamais dit cela, mais elles péripatent à fond, comme le faisaient les philosophes sous le Portique qui philosophaient en péripatant. Les Stoïciens péripataient pour philosopher sous le Portique et les aristotéliciens péripataient et philosophaient sous... non, pardon, dans le Lycée. Il faut être précis, un peu. D'où le nom, ce qui semble assez évident pour ne pas devoir être expliqué davantage il me semble. Tous les Grecs, savent ça, non de Zeus ! Fermons la parenthèse. Donc on ne sait pas très bien comment Aristote a perdu de vue la môme Piaf, outre qu'il avait paumé ses lunettes vu que c'était un coup de Galilée qui les lui avait piquées pour observer le ciel, mais ce qu'il y a de sûr c'est qu'un jour il ne l'a plus prise dans ses bras et qu'elle n'a plus vu la vie en rose (heureusement ! sinon elle aurait fini Stéphanie de Monaco, ce qu'à Dieu ne plaise, épargnez-nous cela !). Donc on ne sait pas très bien comment Aristote l'a perdue de vue cette môme. Deux versions des faits coexistent : soit c'était à cause de la foule en liesse un jour de fête nationale lors d'un bal qui a mal tourné et où il lui avait fait tourner complètement la tête (il était comme ça Aristote !), et donc c'est la faute à l'accordéon, soit c'était dans le port où les putes attirent les meilleurs philosophes la nuit : le port d'Amsterdam, un véritable attrape-philosophe où les meilleurs sont tombés, tête la première. Mais ensuite pour se consoler de son amour inconsolable, au lieu de bourlinguer bêtement de ville en ville, de port en port, selon le lieu commun éculé, où elle aurait aussi éculé ses chaussures et on ne sait quoi encore, elle, notre môme nationale, eut l'heur de se consoler d'Aristote avec un pâtre grec inconnu mais célèbre vu qu'il a posé tout nu (coutume typiquement grecque) pour le Musée d'Athènes, où, par parenthèses et notez-le bien, l'on peut voir la femme d'Hercule le dieu protecteur de désencyclopédie et les roustons du père Platon dans du coton hydrophile, et ce beau pâtre grec, donc, bel éphèbe, demi-dieu, qui a posé pour la magnifique statue sans nom. Et c'est l'éphèbe de Piaf. Et en somme c'est le Dasein d'Aristote en quelque sorte, puisqu'il le précédait et le suivait comme son ombre, le remplaçant, jouant presque son rôle à faire son drôle, auprès de la môme Piaf. L'éphèbe est l'âme d'Aristote qui n'était pas beau : ça fait réfléchir tout de même. A la suite de quoi Aristote a écrit le Traité de l'âme, dédié à Édith Piaf. On le comprend. Car son chant avait de l'âme, putain ! Puis elle a remis ça encore, vu qu'elle avait une vitalité du tonnerre de Zeus depuis qu'Aristote lui avait foutu la pêche et qu'elle avait ainsi compris à quoi ça ressemble la vie, grâce aux leçons où il s'agitait de la tête et de la queue pour donner le meilleur de lui-même : normal, puisque c'était Aristote, hein ! et qu'il avait fait une théorie sur ces deux choses, en plus d'autres choses encore, y compris une théorie sur "La Chose". Elle eut — Édith — encore le bonheur de rencontrer et de connaître, au sens vrai du mot, c'est-à-dire au lit et sous les oliviers aussi, Georges Moustaki qu'elle aima beaucoup parce qu'il avait une belle moustache et une belle barbe, et certainement une belle bite aussi même si c'est pas écrit dans les livres, et qu'il lui écrivait de belles chansons (ça, on peut pas dire le contraire). Puis ensuite il lui arriva de se tourner vers Theo Thepabo, un jeunot même pas philosophe et sans âme qui n'avait jamais connu ni une pute ni l'amour. Avec celui-là ce fut le déclin et ce fut son destin. Ah les femmes ! Ah la vie ! Point final. Bon, je Mégare, c'est pas la biographie d'Édith Piaf tout de même. Non, non, Aristote ne fait pas partie de l'école de Mégare — il s'est jamais égaré jusque-là — qui est pourtant une très belle ville qui vaut le détour d'autant qu'on y mange un fromage, et y boit un nectar, je ne vous dis pas... di-vin ! Non son école, c'est l'école aritotélicienne — évidemment, pov'pomme — qui a eu un succès fou fou fou et phénoménal, à travers le monde et surtout en France : le Lycée. Parce qu'en France, on aime Aristote donc on aime le Lycée CQFD. La preuve qu'en France on aime Aristote parce qu'il est le meilleur, comme disent toutes femmes qui l'ont rencontré du reste, ce sont : le Lycée, le fromage, la pute hein ? Ne pas oublier la pute, mère de la philosophie et mère de tous les vices jusqu'à Sade compris, digne fils d'Aristote. Oui, vous ne saviez pas ? Sade est le fils naturel d'Aristote, par la cuisse gauche, de Jupiter, bien sûr ! Sade, signé Aristote, signe de l'esprit typiquement français. La filiation est incontestable, pour un esprit français du moins, que l'on dit cartésien, tu parles ! En vérité l'esprit, enfin ce qu'il en reste est aristotélo-sadien, en France. En Belgique c'est un peu différent, plutôt aristotélicien. Et au Québec ? Aristote au Québec, voilà un beau sujet pour un ouvrage. Je poursuis : en France, on aime Aristote. La preuve encore : on aime la philosophie pour ses vices et ses vertus, comme on aime les maths et ses cercles vicieux, carrément, et preuve encore : Édith Piaf, que l'on aime, parce qu'elle une grande philosophe, la plus grande de toutes les philosophes, bien plus grande que Simone de Beauvoir bien sûr, devenue ce qu'elle est devenue à son contact. Normal. La philosophie étant sexuellement transmissible. Etc. Je ne vais pas vous faire la liste. D'ailleurs il paraît que c'est interdit. Donc He's the best ! Le meilleur n'empêche que c'est lui.