| rdfs:comment | - Voilà est un journal tabloïds qui concentre des informations diverses sur les gens de la petite société, les pensées philosophiques de repassage, Dallas, le passage à la retraite, les chats et les chiens. Il se compose de publicités, de beaucoup de publicités (pour compenser le faible tirage) et parfois de quelques articles sur les perruches, les belle-mères, le conjoint ou la conjointe idéal(e) avec qui on aurait dû se marier, l'intégration de certains roux écossais, la gauche ou des articles qui se basent sur des tâches ou des évènements quotidiens qui forment et déforment le petit train-train de beaucoup de ces célèbres personnalités. Ou pas.
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| abstract | - Voilà est un journal tabloïds qui concentre des informations diverses sur les gens de la petite société, les pensées philosophiques de repassage, Dallas, le passage à la retraite, les chats et les chiens. Il se compose de publicités, de beaucoup de publicités (pour compenser le faible tirage) et parfois de quelques articles sur les perruches, les belle-mères, le conjoint ou la conjointe idéal(e) avec qui on aurait dû se marier, l'intégration de certains roux écossais, la gauche ou des articles qui se basent sur des tâches ou des évènements quotidiens qui forment et déforment le petit train-train de beaucoup de ces célèbres personnalités. Ou pas. Entre des publicités basées sur des réductions à Monoprix, des marques de grille-pain professionnelles ou des réductions pour les sous vêtements féminins en lingerie de soie fine de la célèbre chaîne de magasins je m'aime en ronde, des articles sont consacrés à la lessive, le métro, le boulot, l'insomnie, la ménopause, la dépendance aux médicaments, les rides et sur de parfaits inconnus qui veulent changer leur vie et ne plus boire que du champagne pour oublier leur célébrité. Se trouvent aussi des jeux, des mini-jeux ainsi que des gadgets (offerts par Picsou magazine) qui sont à l'image de l'acheteur, inutiles mais amusants. Mais si Voilà parle d'arthrite, de loyer trop cher et du F2 mal insonorisé, du bonheur (enfin celui que l'on aurait voulu avoir) ou du suicide, Voilà ne parle jamais de Johnny Hallyday, l'idole des beaufs, de célébrités en général, de la droite ou de malheur. En conclusion, ceux qui ne sont pas célèbres peuvent avoir la chance de voir un article consacré à leur nom dans un journal que personne ne lit, ou presque.
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