. . "Velvet Goldmine (1998) is a film directed and co-written by Todd Haynes. The film tells the story of a popstar based mainly on David Bowie's 'Ziggy Stardust' character and is set in Britain during the days of glam rock in the early 1970s. David Bowie disliked the script and vetoed the proposal that his songs appear in the film."@en . . . "Velvet Goldmine"@en . . . . . . . . . . . . "7440.0"^^ . "Velvet Goldmine"@en . "Velvet Goldmine"@fr . . . . . "Velvet Goldmine"@en . . . "Velvet Goldmine, film britannique de Todd Haynes, sorti en 1998 !!!Analyse critique En 1984, Arthur, journaliste, se voit confier une enqu\u00EAte sur Brian Slade, ancienne idole du glam rock, volatilis\u00E9e dix ans plus t\u00F4t. L'investigation tourne \u00E0 la recherche du temps perdu miniature : Arthur a \u00E9t\u00E9 un fan transi de Brian Slade. Chaque t\u00E9moignage qu'il recueille produit sur lui l'effet d'une madeleine, ressuscitant ses vertiges adolescents, quand l'achat d'un nouveau 33-tours \u00E9tait pour lui l\u2019\u00E9v\u00E8nement le plus important du monde et justifiait qu'il se barricade dans sa chambre des heures durant."@fr . . . "James Lyons"@en . . . . "Velvet Goldmine (1998) is a film directed and co-written by Todd Haynes. The film tells the story of a popstar based mainly on David Bowie's 'Ziggy Stardust' character and is set in Britain during the days of glam rock in the early 1970s. David Bowie disliked the script and vetoed the proposal that his songs appear in the film."@en . "English"@en . . "--05-21"^^ . . "Todd Haynes"@en . . . . . . . . "120879"^^ . . "120879"^^ . . "A 1998 film about a bisexual pop star and his meteoric rise to fame during the Glam Rock movement of the 1970s. It's absolutely not about David Bowie. Despite main character Brian Slade singing a song about Ziggy Stardust Maxwell Demon, a character from outer space, or having a back-up band called The Spiders From Mars The Venus in Furs. Nope, he's absolutely not David Bowie. Oh sure, he reinvents himself as The Thin White Duke Tommy Stone. Oh alright. The movie was supposed to be about Bowie explicitly, but the aging pop star supposedly pulled support when he found out the film centered around his bisexuality, instead of his life or music. Reportedly, he said jokingly to friends it seemed like the Ziggy Stardust-like character seemed to simply \"spend his time administering blowjobs\". So the film-makers changed some names and added in some allusions to Oscar Wilde and voila, no longer about Bowie. The film centers around journalist Arthur Stewart researching the disappearance of Slade after a catastrophic failure of a publicity stunt at a concert. Apparently fans aren't forgiving if you fake your own death. So Slade fell into alcohol, drugs, and depression and dropped out of sight completely. Arthur starts by interviewing Slade's former friends and lovers. He also muses on his own youth and the impact of the glam rock scene on his life and sexual identity. The film is thus told in a series of flashbacks, mostly linearly, leading up to Slade's disappearance. It also notably features expies of Iggy Pop and Brian Eno, plus numerous references to Oscar Wilde."@en . . . . . . . . . "Velvet Goldmine, film britannique de Todd Haynes, sorti en 1998 !!!Analyse critique En 1984, Arthur, journaliste, se voit confier une enqu\u00EAte sur Brian Slade, ancienne idole du glam rock, volatilis\u00E9e dix ans plus t\u00F4t. L'investigation tourne \u00E0 la recherche du temps perdu miniature : Arthur a \u00E9t\u00E9 un fan transi de Brian Slade. Chaque t\u00E9moignage qu'il recueille produit sur lui l'effet d'une madeleine, ressuscitant ses vertiges adolescents, quand l'achat d'un nouveau 33-tours \u00E9tait pour lui l\u2019\u00E9v\u00E8nement le plus important du monde et justifiait qu'il se barricade dans sa chambre des heures durant. Les ressemblances ne sont pas fortuites, Brian Slade, c'est \u00E9videmment David Bowie, p\u00E9riode Ziggy Stardust d'abord. Et la s\u00E9quence qui le voit resurgir dans les ann\u00E9es 1980 en minet blond platine remplissant les stades constitue une pique au Bowie de la p\u00E9riode Let's dance. Quant \u00E0 l'amant sauvage qui se d\u00E9shabille sur sc\u00E8ne, c'est bien s\u00FBr Iggy Pop. Todd Haynes restitue les paroxysmes de la condition de fan, dont l'idole phagocyte les pens\u00E9es, tout en le r\u00E9v\u00E9lant \u00E0 lui-m\u00EAme. Mais, c'est l'id\u00E9e maitresse du film, ce culte, cet amour sont vou\u00E9s \u00E0 des chim\u00E8res. Brian Slade et consorts n'auront \u00E9t\u00E9 que de pures apparences, virtuoses de l'illusion, h\u00E9ritiers d'une lign\u00E9e de dandys faussaires qu'Haynes fait remonter \u00E0 Oscar Wilde, selon une g\u00E9n\u00E9alogie baroque et imaginaire. Tout en r\u00E9miniscences paillet\u00E9es, Velvet Golmine exalte ainsi la nostalgie d'une contr\u00E9e d'autant plus attirante qu'elle n'a jamais vraiment exist\u00E9. Le film n\u2019est pas un chapitre illustr\u00E9 de l\u2019encyclop\u00E9die du rock, mais plut\u00F4t une sp\u00E9culation romantique, ouverte \u00E0 toutes les chim\u00E8res et \u00E9minemment personnelle d\u2019un cin\u00E9aste, autour d\u2019un temps r\u00E9volu et de ses tapageuses figures de proue. Et le film s\u2019emballe ainsi en un carrousel chatoyant de r\u00E9miniscences et de fantasmes. Les r\u00E9f\u00E9rences, les ressemblances non fortuites foisonnent. Leur musique, leurs chansons forment un indescriptible alliage de morceaux d\u2019\u00E9poque r\u00E9orchestr\u00E9s, et de compositions nouvelles, \u00AB \u00E0 la mani\u00E8re de \u00BB\u2026 Quant \u00E0 la structure \u00E9toil\u00E9e du film, juxtaposition de t\u00E9moignages pour tenter de reconstituer la personnalit\u00E9 de Brian Slade, elle rappelle \u00E0 dessein celle de Citizen Kane. Cette derni\u00E8re allusion peut sembler d\u00E9risoire ou exag\u00E9r\u00E9ment t\u00E9m\u00E9raire. Elle est \u00E0 l\u2019image de tout le film qui sugg\u00E8re qu\u2019on a les h\u00E9ros qu\u2019on veut. Seule compte l\u2019intensit\u00E9 des passions qu\u2019ils inspirent. Au-del\u00E0 du folklore comme les extravagances sc\u00E9niques et vestimentaires,l'androgynie et la bisexualit\u00E9 affich\u00E9es, revisit\u00E9s par Todd Haynes, l\u2019aspect le plus universel du film concerne la condition extr\u00EAme de fan. Les flash-back sur l\u2019adolescence d\u2019Arthur montrent combien ses idoles de jeunesse ont mobilis\u00E9 ses pens\u00E9es, sa sensibilit\u00E9 et l\u2019ont r\u00E9v\u00E9l\u00E9 \u00E0 lui-m\u00EAme. Un petit talisman circule entre les diff\u00E9rents personnages, symbole de cette filiation de l\u2019excentricit\u00E9, du dandysme et de la d\u00E9cadence, dont le prologue r\u00E9v\u00E8le qu\u2019il a appartenu \u00E0 Wilde en personne. Le jeu de pistes, de citations et de clins d\u2019\u0153il pourrait tourner au galimatias, \u00E0 la faveur du montage convulsif pratiqu\u00E9 par Haynes et du poudroiement de paillettes ou de plumes qui envahissent fr\u00E9quemment l\u2019\u00E9cran. Mais, cette f\u00E9erie miroitante et d\u00E9jant\u00E9e frappe au contraire par sa coh\u00E9rence, son affinit\u00E9 avec l\u2019esprit du glam rock tel que le cin\u00E9aste le con\u00E7oit : un tourbillon d\u2019images, de sons et de signes trompeurs qui, \u00E0 la fois, masquent du vide et atteignent \u00E0 une r\u00E9alit\u00E9 po\u00E9tique et plus vraie, pourvu que groupies et idoles y croient ensemble, au m\u00EAme moment. !!!Distribution \n* Ewan McGregor : Curt Wild \n* Jonathan Rhys Meyers : Brian Slade \n* Christian Bale : Arthur Stuart \n* Toni Collette : Mandy Slade !!!Fiche technique \n* Titre : Velvet Goldmine \n* R\u00E9alisation : Todd Haynes \n* Sc\u00E9nario : Todd Haynes et James Lyons \n* Production : Christine Vachon \n* Musique : Carter Burwell \n* Dur\u00E9e : 124 minutes \n* Date de sortie : 21 mai 1998 au Festival de Cannes 1998, o\u00F9 le film re\u00E7oit le Prix de la meilleure contribution artistique. Lo3:velvetg.jpg"@fr . "A 1998 film about a bisexual pop star and his meteoric rise to fame during the Glam Rock movement of the 1970s. It's absolutely not about David Bowie. Despite main character Brian Slade singing a song about Ziggy Stardust Maxwell Demon, a character from outer space, or having a back-up band called The Spiders From Mars The Venus in Furs. Nope, he's absolutely not David Bowie. Oh sure, he reinvents himself as The Thin White Duke Tommy Stone. It also notably features expies of Iggy Pop and Brian Eno, plus numerous references to Oscar Wilde."@en .