PropertyValue
rdfs:label
  • Capitaine Igloo
rdfs:comment
  • D’importantes zones d’ombres demeurent à propos de l’origine et l’enfance du Capitaine Igloo, On avance la date de 1880 pour sa naissance, ce qui ferait de lui le doyen de l’humanité. Norbert serait l’enfant illégitime d’un illustre marin, Colin du Bigorneau Duc de Saint-Malo et de sa bonne portugaise, Conchita-Dolorès da Pinta y Nina y Santamaria (la célèbre barbe du capitaine a sans doute été hérité de sa mère). Son père était un notable local mais surtout un dévot catholique fermement opposé aux rapports charnels avant le mariage. Pour éviter tout scandale, il fit baptiser son rejeton dès sa naissance, comme tout bon chrétien, puis il l’abandonna immédiatement à une famille d’adoption : les Mc BigFish de Glasgow en Écosse. Son enfance se passa sans événements notables. Des écossais, Nor
dcterms:subject
dbkwik:desencyclopedie/property/wikiPageUsesTemplate
abstract
  • D’importantes zones d’ombres demeurent à propos de l’origine et l’enfance du Capitaine Igloo, On avance la date de 1880 pour sa naissance, ce qui ferait de lui le doyen de l’humanité. Norbert serait l’enfant illégitime d’un illustre marin, Colin du Bigorneau Duc de Saint-Malo et de sa bonne portugaise, Conchita-Dolorès da Pinta y Nina y Santamaria (la célèbre barbe du capitaine a sans doute été hérité de sa mère). Son père était un notable local mais surtout un dévot catholique fermement opposé aux rapports charnels avant le mariage. Pour éviter tout scandale, il fit baptiser son rejeton dès sa naissance, comme tout bon chrétien, puis il l’abandonna immédiatement à une famille d’adoption : les Mc BigFish de Glasgow en Écosse. Son enfance se passa sans événements notables. Des écossais, Norbert tira roublardise, pragmatisme et une certaine pingrerie. Famille de marins, les BigFish placèrent le jeune homme dans la marine marchande. Très jeune, il s’embarqua comme mousse et il fit plusieurs fois le tour du monde, visitant de nombreux pays. Là il apprend les langues des pays qu’il visite. Doté d’incroyable don en linguistique, il lui suffit d’une escale de deux jours pour parler couramment une nouvelle langue. C’est ainsi qu’il maitrise plus de 100 langues : papou, mandchou, swahili... Il est même la dernière personne au monde à parler le Zoulou, appris en convoyant les deux derniers spécimens vivants dans une cage lors d’un voyage d’Afrique du Sud en Angleterre à la fin du XIXème. Les pauvres créatures finirent leurs jours dans un zoo de Londres. La marine à voile n’avait plus le vent en poupe et elle fut ruinée par les bateaux à moteur. Notre marin se trouva alors au chômage.