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  • L'Histoire du Monde/Chapitre III : La relève nippone
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  • Après la mort de l'empereur de Chine Hô Chi Minh, tué par le maître d'arts martiaux Ding Dong, un nouveau combattant apparut. Japonais cette fois. Il se nommait Shang Li. Il inventa un art martial qui est toujours pratiqué de nos jours et qui est le nunji-su. Il s'en servit tout d'abord pour contrer une menace grandissante qui faisait frissonner son peuple : c'était la menace fantôme (cet épisode a été adapté en film, vous devriez le connaître). Les opposants des jedis, les chevaliers siths, venaient violer les enfants de son village et des villages voisins ; les enfants n'avaient pas le choix, car c'était soit les rapports sexuels, soit la mort.
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  • Après la mort de l'empereur de Chine Hô Chi Minh, tué par le maître d'arts martiaux Ding Dong, un nouveau combattant apparut. Japonais cette fois. Il se nommait Shang Li. Il inventa un art martial qui est toujours pratiqué de nos jours et qui est le nunji-su. Il s'en servit tout d'abord pour contrer une menace grandissante qui faisait frissonner son peuple : c'était la menace fantôme (cet épisode a été adapté en film, vous devriez le connaître). Les opposants des jedis, les chevaliers siths, venaient violer les enfants de son village et des villages voisins ; les enfants n'avaient pas le choix, car c'était soit les rapports sexuels, soit la mort. Un beau jour, un homme se présenta au maître du village, et lui demanda s'il pouvait essayer de défendre les enfants contre les violeurs. L'homme refusa, ce qui lui coûta la vie, et ce ne fut pas sans souffrances, car Shang Li le tua à coup d'orteils dans les yeux. Quand le maître du village refusa la demande du combattant, il se prit un coup de pied volé à cinq mètres de haut dans le menton. L'un de ses pouvoirs était de contrôler la gravité, ce qui lui servit beaucoup, en particuliers au cours du combat. Il retomba et s'écroula. Sans beaucoup de difficultés, il se releva, prêt au combat. Il se mit en position, et assainit son premier coup, qui fonça droit dans le dessus du pied du ninja, ce qui fut naturellement sans effets. En guise de riposte, le jeune homme lui mit un chassé latéral suivi d'un coup de doigt dans l'œil, ce qui fit reculer l'adversaire. Mais l'homme n'était pas du genre à se décourager, et mit un coup de poing en plein dans la hanche de Shang Li, ce qui lui fit un hématome. Mais le maître de nunji-su était vraiment en colère. Le courageux jeune homme lança un regard froid au vieil homme, et un frisson traversa le dos de ce dernier. Le combattant s'élança, sauta à sept mètres de haut, et retomba sur le vieux maître épuisé, pied droit vers le bas, prêt à frapper la cible. Le maître du village n'eut même pas le temps de se protéger, que le pied de l'autre lui écrasa le nez. Il retomba au sol sans trop de difficulté. Puis il attrapa le vieillard qui était en train de tomber au sol, enroula sa jambe autour de son cou, de manière à l'étrangler légèrement, et lui creva les yeux en quelques coups d'orteils ; le vieil homme mourut de douleur. Après cet acte dont plusieurs membres du village furent témoins, il se fit bannir de ses terres. Par peur, on n'osa pas le condamner à mort. Plusieurs mois de solitude plutard, Shang Li revint au village, et s'aperçu que les chevaliers siths avaient anéantis la population de son village ainsi que celles de tous les villages voisins. Pris de rage, il erra longtemps dans le désert. Il se creusa un trou dans le sable, fit tenir les "murs" avec de la boue séchée, et vécu longtemps dans cette habitation troglodyte. Jusqu'à ce qu'un beau jour, un touareg passa par là, et le vit en train d'essayer de faire pousser du gingembre et des rutabagas. Quand Shang Li le vit, il lui demanda où habitaient les siths, et l'homme lui répondit : — Au nord-est, sans doutes… Puis il partit. Shang Li partit au nord-est, et fit un long voyage semé d'embûches. Arrivé au nord-est, il vit un bâtiment dont il ne crut pas au début, puis il se frotta les yeux par crainte que ce soit une hallucination, mais c'était bien vrai. C'était le temple sith, pas de doute possible car sur la façade était inscrit : "TEMPLE SITH". Il entra. Ce fut ce moment, le moment tant attendu de sa vengeance, où il vaincrait Darth Maul. Il couru, se précipita, et le vit assit sur son trône fait d'une matière indescriptible. L'homme vêtu d'une cape noire, lui jeta un regard étonné, puis sorti son pistolet blasteur, mais pas assez vite, car un shuriken le coupa en deux dès qu'il fut dégainé. Le sith pris ce geste comme un défit. Il enleva son capuchon, le lança à gauche du trône et sortit son sabre laser qui scintillait de mille feux. Shang Li n'en croyait pas ses yeux. Il se prépara au combat mains nu. C'est à ce moment là qu'il décida de se renommer: à présent, il s'appellerait Manik-Jounk. Puis, en toute confiance, il fit un saut démesuré, de je ne sais combien de mètres de haut, et retomba sur la tête du chevalier sith, qui ne s'attendait pas à ce coup. Il tomba face contre terre, eu un temps de repos, et se releva de façon machinale. Il brandit son sabre, mais Shang Li était déjà à une dizaine de mètres de lui. Darth Maul sauta, pour atteindre le ninja, mais il passa sous lui, lui administrant au passage un méchant uppercut au bas ventre, ce qui fit grimacer, d'une façon assez horrible à voir, le chevalier sith. Mais il était résistant. Il se retourna, et le laser de son sabre fut coupé en deux par un kunai, avant même qu'il ne comprenne ce qu'il se passait. Sans attendre sa réaction, Manik-Jounk mit un coup de pied sauté rotatif transversal fatal dans le visage de l'homme, ce qui lui cassa le nez. Il s'écroula au sol à cause de la douleur. Le combattant en profita pour lui casser les deux jambes et les deux bras à coup de tête, puis mit ses doigts dans le nez du sith impuissant, ce qui le fit mourir d'étouffements. Depuis ce jour, Manik-Jounk est une légende. Il mourut d'une chute à bicyclette qui lui fut fatale, le crâne éclaté en morceaux et mangé ensuite par des singes errants.