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  • FC Nantes
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  • Equipe de foot qui intéresse les nantais. Surnommés "les canaris" en comparaison avec la qualité physique des joueurs, le FCNA s'entête à faire jouer ses volatiles (Par exemple, Titi en fait parti mais pas GroMinet) sur un terrain de foot appelé La Mangeoire, qui, depuis 2007 n'est jamais rempli à plus de la moitié... Faut dire que y'a pas grand chose à manger (Voir Nantes - Gueugnon 0-0) Quatre autres version de ce nom stupide : 3/ En 1961, au match retour, victoire 2-1, l’homologue de Flamenquche, un certain Adrien Viaud, écrit dans Presse Océan « Serein, l’équipe Canari, domine son sujet ».
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Nickname
  • Les Canaris
currentleague
Ground
Capacity
  • 38285
clubname
  • FC Nantes
Fullname
  • Football Club de Nantes
Founded
  • 1943
abstract
  • Equipe de foot qui intéresse les nantais. Surnommés "les canaris" en comparaison avec la qualité physique des joueurs, le FCNA s'entête à faire jouer ses volatiles (Par exemple, Titi en fait parti mais pas GroMinet) sur un terrain de foot appelé La Mangeoire, qui, depuis 2007 n'est jamais rempli à plus de la moitié... Faut dire que y'a pas grand chose à manger (Voir Nantes - Gueugnon 0-0) Quatre autres version de ce nom stupide : 1/ Edmond Michelet écrit dans son histoire de la Bretagne : « Nantes, capitale de la Bretagne, c’est dans le château des Ducs qu’Anne à ri pour la première fois en 1477 » Des élèves transformèrent très rapidement cette célèbre phrase en « Château des ducs canaris ». 2/ En 1960 après un revers cuisant à Boulogne-sur-Mer (10-2), les supporters Boulonnais, entamèrent pour la première fois la célèbre chanson, « Ils sont cuits, cuits les Nantais ». Un journaliste du nom de Flamenquche s’en emparant écrivit dans la Voix du Nord le lendemain « Tout de jaune vêtu, ils sont cuits cuits les canaris ». 3/ En 1961, au match retour, victoire 2-1, l’homologue de Flamenquche, un certain Adrien Viaud, écrit dans Presse Océan « Serein, l’équipe Canari, domine son sujet ». 4/ Mais la toute première fois est plus ancienne et mérite d’être compté avec plus de détails. En 1954, de retour d’Indochine, un jeune pigiste travaillant pour Ouest France avait pour mission de faire un compte-rendu d’un match de D2. Sortant du Stade Malakoff, il alla comme de coutume dans le bistrot à l’angle pour attendre le coup de fil de la rédaction Rennaise. L’ambiance était chaude et bruyante. Il faut se rappeler qu’à l’époque, point d’ordinateur ni de téléphone portable. Les articles étaient dictés au téléphone dans les estaminets et une sténographe prenait notes avant qu’un typographe compose le papier. Un rédacteur national devant vérifier le contenu du papier. Il va se soit que les liaisons téléphoniques étaient de mauvaises qualités et les bruits de fond couvraient largement la voix des jeunes éphèbes pigistes. Donc, ce jeune pigiste, enflammé par la victoire dicta son article. Arrivant vers la conclusion, et voulant se faire remarquer du rédacteur en chef par sa prose et son style se laissa à dicter la phrase suivant : « Les Nantais, acculèrent Cannes, à dix, virevoltants aux quatre coins de la pelouse immaculée. » La Sténographe, soit par taquinerie pour le typographe à qui il était de bon aloi de faire des blagues, soit occupée à finir sa couverture en crochet traduisit par : « Les Nantais, enculèrent Canari, virevoltants aux quatre coins de la pelouse immaculée. » Le typographe, attentionné, membre éminent du syndicat du livre et stalinien de bonne tenue, ne laissa pas passer cette vulgarité contraire à l’ordre morale institué dans les cellules par le petit Père des Peuples et composa la phrase qui resta célèbre et sur laquelle tout le style du FCN s’est construit par la suite : « Les Nantais, Canaris virevoltants aux quatre coins de la pelouse prolétarienne. » Il supprima aussi, immaculé qui faisait trop référence à la Sainte Vierge. Pour compléter cette histoire, il faut rendre hommage à ces glorieux personnages. Le typographe est resté anonyme, car dans son monde, donner son nom et se mettre en avant, menait tout droit à l’exclusion du parti. La sténographe se nommait Thérèse Marie-Madeleine Dupouêt, elle est enterrée à Beaupréau. Il est permit d’aller fleurir sa tombe. Le jeune Pigiste est resté toute sa vie journaliste à Ouest France. Sans aucun talent, il ne fit rien de bon, même ses fils tournèrent mal. Je me souviens du prénom de l’un d’eux, Pascal.
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